L'atelier de poésie

L'atelier d'écriture était aussi un atelier de découpage et de collage. De libre composition. Venus avec un tombereau de mots découpés dans les journées, nos vaillants animateurs nous ont proposé d'imiter Herta Müller.

L'écrivaine de langue allemande dans son antre

En vrac, entassés, empilés, dispersés façon puzzle sur la table, se recouvrant les uns les autres, se laissant à peine deviner par une terminaison, presque déjà une rime, les mots attendent leur renaissance !
A chacun de réagir aux sons et aux images ! Et de tenter des assemblages improbables, de composer une histoire originale, de produire son poème à nul autre pareil.

Le tapis de mots avant la bataille

L'inspiration tranquille

Au travail ! Et voilou...

Poème en rose, de Nicole, apprécié par Emma :

Dessine moi

1 rendez-vous

C'est toujours du neuf!

Bientôt, Princesse

Pleine de folie ?

Evasions, être ensemble...

Résultat final : la force d'être deux.

Aimer, ça ; mon numéro

Petits et grands s'y sont mis. Pour relever le défi ou vouloir croire au destin... La moisson de poésies a donc été fort bonne.

Un poème en jaune, pris au hasard :

Une île à la mer

en mieux

Qu'est-ce qui a interdit

les cabines ?

Week-end 

en perspective.

Un poème en vert :

à portée de main

Le temps bleu

de l'Océan Indien

mais le décret est

méga insolite

Au fil de l'eau.

Deux poèmes sur la peau, un sujet qui a inspiré d'autres poètes encore ! 

Nouvelles du Sud pour partie

Les femmes douces de peau masquée

Accords accro

La peau romaine de beauté

était aussi une peau bal masqué

où est

la peau 

sans être déguisés

scolariser les débats

des chaussettes

Un autre sur l'amour, bien sûr !

L'amitié est un

trésors cachés fantastiques

La lumière est sublime

des rires sans limites sur la

valeur précieuse d'ailleurs. L'amour

est ma meilleure rencontre.

Je m'y colle...

La guerre

beauté intemporelle

Des souvenirs

fantastique de voir ça,

une drogue ?

Peut-on inventer

un contraceptif ?

Comment des vies en plus

ou en moins.

Coupe parfaite. Marche. Tranche.

Si j'avais des hommes courageux et un nouveau nom...

Et le meilleur pour la fin :

Où sont les femmes ?

Dormez

La puissance

Souvent 

profondément.

A moins que cette poésie d'Irène, écrite pour l'occasion (et dessinée) nous plaise davantage :

Liberté un jour

liberté toujours

Nous sommes tous amis

Amitié. Amour

toujours.